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Sur les accords de Bruxelles…

Depuis le début de la crise économique en 2008, Nicolas SARKOZY a toujours été en première ligne pour organiser une réponse coordonnée et proportionnée à l’ampleur de la crise. Le Chef de l’État a sans cesse poursuivi son engagement en mobilisant l’ensemble des acteurs européens, pour renforcer la solidarité entre les États, aider les pays en difficulté et garantir la stabilité de l’économie euro…péenne. L’accord de Bruxelles obtenu le 27 octobre 2011 est un accord historique, à la hauteur de la crise que nous traversons. Il est l’aboutissement de la détermination de l’ensemble des chefs d’État et de gouvernement de la zone euro, Nicolas SARKOZY et Angela MERKEL en tête, à sauver notre système économique et financier. Par son implication totale pour obtenir cet accord crucial avec tous nos partenaires, Nicolas SARKOZY a prouvé une nouvelle fois que seul le courage pouvait faire la différence pour protéger tous les Européens. Cet accord vise à protéger l’épargne de chaque Européen et à éviter une récession qui détruirait des milliers d’emplois. Ensemble, afin d’apporter un accord à la hauteur des attentes des citoyens et des défis futurs de l’Europe, les partenaires de la zone euro ont fait preuve de crédibilité, d’ambition et de responsabilité, avec une vision claire pour l’avenir. Crédibilité : les banques ont accepté la proposition des dirigeants européens de renoncer à 50 % de la dette grecque qu’elles détiennent, soit un effort de 100 milliards d’euros. Ambition : le renforcement du Fonds européen de stabilité financière permettra d’écarter un risque de contagion de la crise grecque à l’ensemble des États les plus fragiles de la zone euro. Responsabilité : la consolidation de notre système financier permettra de faire face aux incertitudes actuelles. Les banques européennes vont devoir renforcer leurs fonds propres à hauteur de 9%. Ainsi, les banques européennes seront plus fortes et pourront continuer à financer l’économie. C’est une vraie garantie pour les épargnants et les investissements des entreprises : les banques ne s’effondreront pas et continueront à soutenir l’économie réelle. En France, aucune des trois banques qui doivent se recapitaliser pour porter leurs fonds propres à 9% n’aura besoin de faire appel à de l’argent public. Vision pour l’avenir : la mise en place d’un gouvernement économique de la zone euro, comme Nicolas SARKOZY l’avait proposé le 16 août dernier avec Angela MERKEL, permettra aux États de la zone euro de converger et d’être plus coordonnés, unis et efficaces face aux crises. Le sommet de la zone euro se réunira au moins deux fois par an : c’est une très ancienne demande de la France qui débouchera sur une gouvernance économique commune. L’ensemble des États de la zone euro devra adopter d’ici la fin 2012 une règle d’or, de préférence au niveau constitutionnel. Le leadership de Nicolas SARKOZY et d’Angela MERKEL a permis aux partenaires européens de conclure un accord courageux et durable. La zone euro en ressort grandie, avec des perspectives d’avenir claires et nouvelles. Grâce à son rôle décisif dans le sauvetage de la zone euro, Nicolas SARKOZY a su une nouvelle fois protéger la France et les Français.

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