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Premier tour des élections régionales : réaction d'Eric Ciotti

seulement perdu la confiance des Français mais elle a, plus encore, fragilisé, à force de reculs de l’autorité républicaine et de renoncements coupables, l’État dans son ensemble.

Le vote en faveur du Front national est avant tout une expression de colère. La colère devant la gabegie socialiste dans la gestion de nos régions et devant leur incapacité à prendre les décisions courageuses de maîtrise des dépenses publiques qu’impose l’état de la France. La colère devant l’incapacité des présidents socialistes de nos régions à favoriser le développement économique et l’emploi et à stopper la montée inexorable du chômage en France. La colère devant la naïveté du gouvernement face à la montée des communautarismes, face aux atteintes continues à l’identité et à la culture françaises et, plus encore, devant les échecs à protéger les Français d’une menace terroriste inégalée. Ce soir, le message des Français est limpide : la République ne doit plus renoncer comme elle le fait depuis plus de 3 ans ! Si cette colère doit être entendue, je veux dire à nos concitoyens que le vote pour le Front national au second tour est une impasse. Aujourd’hui, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur comme ailleurs, le parti Les Républicains est le seul à même de répondre aux attentes des Français et de proposer une alternance sérieuse. Tout autre vote exposerait la région, et plus encore la France, à de graves déconvenues. J’observe, à cet égard, avec une grande satisfaction que, dans les Alpes-Maritimes, les électeurs ont donné une avance à la liste des Républicains dirigée par Christian Estrosi, tant à Nice que dans le Département. Aussi, j’appelle solennellement chacun et chacune de mes concitoyens des Alpes-Maritimes et des départements de la région Provence Alpes-Côte d’Azur à voter, dimanche prochain, pour la seule liste d’alternance crédible, celle de Christian Estrosi. Au second tour de ces régionales, la victoire est possible !
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