Mon actualité

J'ai interrogé le Secrétaire d'Etat Bussereau

La nouvelle catastrophe aérienne, le crash de l’A310 de Yemenia Airways, reliant Sanaa à Moroni, a rappelé à tous la nécessité de renforcer la réglementation internationale et ses outils dans ce domaine.

Comme je l’avais promis aux représentants de la Communauté comorienne des Alpes-Maritimes, j’ai souhaité appelé à une plus grande sévérité pour les compagnies qui ne respectent pas les minima de sécurité et continuent d’exploiter des avions « poubelles », au mépris des règles et des vies.

Cette question se pose de façon durable pour l’ensemble des vols assurés vers Moroni et donc pour l’ensemble des personnes ou des familles qui empruntent ces liaisons. Il ne s’agit plus d’attendre les prochaines catastrophes pour agir de façon pérenne et avec bon sens.

L’ensemble de la communauté franco-comorienne a été le 30 juin 2009, nous le savons, profondément touchée et meurtrie par ce nouvel incident ; il semble hors de propos d’attendre le durcissement des sanctions et une plus grande efficacité dans le suivi des contrôles pour engager une action protectrice des familles qui voyagent régulièrement sur ces lignes.

C’est pourquoi j’en ai alerté les autorités compétentes afin de trouver des solutions adéquates et rapides.

D’autre part, j’ai également interrogé Dominique Bussereau, Secrétaire d’État chargé des Transports, sur l’opportunité de demander expressément à Air France d’assurer de nouveau la liaison entre la France et les Comores, afin que, pour tous les citoyens, le service du transport reste synonyme de qualité et de confiance.

]]>