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En matière de sécurité, F. Hollande fait preuve de naïveté, de démagogie et d'incohérence

De manière assez surprenante, M. Hollande a affirmé que la sécurité n’était pas une valeur de gauche ou de droite mais qu’elle était une obligation alors même que, par simple dogmatisme, lui et ses amis socialistes se sont systématiquement opposés à toutes les lois visant à améliorer la sécurité des Français telles que la LOPPSI, la loi visant à améliorer l’exécution des peines, la loi sur le service citoyen pour les mineurs délinquants ou encore la loi instaurant la rétention de sûreté et les peines-plancher.

François Hollande entend revenir aux vieilles lubies des années Jospin comme le rétablissement de la police de proximité. Cette politique a pourtant démontré toute son inefficacité voire sa dangerosité, puisqu’entre 1997 et 2002 la délinquance a progressé de 17,7% soit 600.000 victimes de plus.

Avant de se rendre à Nice, Monsieur Hollande a également tenu des propos qui démontrent son manque de discernement en matière de lutte contre la délinquance. En mettant en cause Bernard Squarcini, directeur central du renseignement intérieur, et de Frédéric Péchenard, directeur général de la police nationale, qui sont deux grands policiers et deux grands serviteurs de l’Etat, c’est l’ensemble de la police française qui est atteinte.

Décidément, plus de 30 ans après le sinistre Congrès de Valence, le Parti socialiste renoue avec des méthodes qui ont fait tant de mal à notre pays.

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