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Dans la droite ligne de ses déclarations lamentables sur la présence française en Algérie, Macron poursuit son œuvre néfaste de repentance qui abîme l’unité nationale et divise les Français.

En reconnaissant la responsabilité de l’Etat Français en Algérie, Emmanuel Macron poursuit son œuvre néfaste de repentance entamée pendant la campagne présidentielle lorsqu’il a osé comparer la présence française en Algérie à un prétendu crime contre l’humanité.

L’histoire de France existe avec sa part d’ombres et de lumières. Ce n’est pas à Emmanuel Macron d’écrire l’histoire mais aux historiens, qui retracent avec nuance et lucidité des évènements qui doivent être remis dans leur contexte. On ne peut pas juger de manière aussi manichéenne l’histoire d’hier.

Je dénonce cette approche manichéenne et unilatérale de la guerre d’Algérie d’un Président qui réécrit l’histoire en choisissant ses morts et qui ferme volontairement les yeux sur les attentats, massacres et exactions abominables perpétrées à la fois par le FLN et le 1er gouvernement algérien contre les Français, notamment les Harkis.

Le devoir d’un Président de la République est de rassembler la France et non pas de rouvrir les plaies mémorielles de l’histoire de notre pays pour diviser et opposer les Français.